Du reggae juif ?

Bah... ouais.



Il s'agit d'un live de Matisyahu intitulé "King withouth a crown".

Edit/Add : pour le plaisir des oreilles... et une petite interview pour en savoir plus :

Quand les wikis vous refont une santé

Les wikis sont probablement la meilleure illustration de ce qu'est le Web 2.0, des espaces d'information dont le contenu est modifiable par les internautes eux-mêmes, l'encyclopédie interactive Wikipedia en étant le meilleur exemple.

C'est bien grâce à ce système que certaines entreprises ou autres personnalités en ont profité pour embellir leur image en modifiant eux mêmes les contenus qui les concernent.
On apprend ainsi que "le FBI a enlevé des photos aériennes de Guantanamo, un assistant de l'évêque Charles Bennison a supprimé les accusations d'abus sexuels sur des enfants portées contre son supérieur" (source)

Virgil Griffith, un étudiant américain, a eu l'idée de relier les domaines des entreprises aux bases d'ip des rédacteurs de wikipedia, en passant simplement par les whois qui interrogent les serveurs DNS.
Cet outil, qui permet de surveiller la neutralité de l'information en recherchant qui en est l'auteur est disponible sur le WikiScanner mis en place par Griffith. A l'heure de ce post, le site est down, probablement du à un afflux de visites trop important.

Sources : 01net, Le Monde

Six secondes de sample...

Le "Amen break" est un break de batterie présent sur un morceau du groupe Funk/Soul "The Winstons" sorti en 1969.

Mais le "Amen break" est certainement bien plus que ça, comme nous le montre Nate Harrison dans le reportage qui suit.
Ce simple break, présent au milieu du morceau "Amen Brother" a été réutilisé de manière hallucinante ces 40 dernières années, par des groupes tels que 3rd bass, NWA, Mantronix, Shy FX, L Double & Younghead, Tom Jankinson jusqu'à des publicités.

En 2002, ce sample a même été placé sous copyright par Zero-G, un organisme anglais éditeur de samples.
Richard Spencer, fondateur des Winstons et détenant par ailleurs les droits sur le morceau, existe toujours et est aujourd'hui bien loin du monde musical depuis qu'il est titulaire d'un doctorat en sciences politiques.

Au-delà de l'histoire de "Amen Break", c'est bien le système de copyrights qu'Harrison cherche à dénoncer, et notamment le conflit qu'il entraine dans la création musicale aujourd'hui, qui sample continuellement les morceaux plus anciens.




Source : FLM

Dans la foulée, je vous invite à consulter le site Samples.fr qui décortique les tubes d'aujourd'hui pour montrer comment ils ont été pompés plus ou moins subtilement...

On ne choisit pas ses parents...

Ceci est peut-être ce que dira "@", cet enfant chinois dont les parents en ont choisi le prénom.
"@" signifie "Je l'aime" traduit en Chinois.

Bien que l'état civil chinois ne s'est pas encore prononcé afin de valider ou non le choix de ses parents, on peut s'interroger sur l'utilité de donner à son enfant un prénom aussi con...

Pire ou pas, des parents suédois avaient déjà essayé d'appeler leur fils "Brfxxccxxmnpcccclllmmnprxvclmnckssqlbb11116" en 1996 afin, disent-ils de protester contre la loi concernant les prénoms en Suède.
En effet ils avaient jusque là, refusé de donner un prénom à leur enfant et ont écopé d'une amende de 525 euros.
L'Etat suédois a bien entendu refusé ce prénom, et suite à ça les parents ont simplement décidé d'appeler leur fils "A".
Refusé encore une fois, ils furent contraints de choisir un prénom décent : Albin.

A noter que les Suédois ont probablement une pathologie grave liée aux prénoms, car des parents avaient en 2005 également appelé leur fils "Google"...

Pauvres gosses...

Sources : Wikipedia, AFP